Re: Le réfectoire

Salazar affiche une mine qui est un mélange de tristesse et de frustration avant de répondre.

-Non pas vraiment. Mais les monstres et les êtres qu'on tue c'est pas toujours des trucs abominables comme ceux que j'ai affronter pas vrai ? Il t'es jamais arriver de sentir de l'empathie pour une créature que tu a occis ?

Il passe un main dans ses cheveux.

-Dans mon cas je n'ai jamais rien tué qui n'étais pas horrible ou abominable.

Il fait non de la tête.

-Bah non, jamais, pas une seule fois.

-Je sais que les nains existent, mais tu à déjà croisé d'autres créatures humanoïdes ?

Il opine.

-Et bien ... Des goules, si ça compte. J'ai aussi croisé un génie, une génie peut être ? Mais elle ne faisait que prendre forme humaine, ça ne compte peut être pas. C'est tout.

Il fait des gros yeux quand Alban mentionne le Griffon comme créature humanoïde mais il n'en dira rien. Salazar fini par se lever en s'étirant avant de déclarer.

-Bon, on se revois donc probablement pour le voyage à Seig lyn. Bonne soirée Alban.

Dira Salazar , Salazar partira après la réponse de Alban.

Il saluera son camarade et s'en ira à son tour.

Carmia a écrit:Attrapant en plein vol de sa main un verre vide, elle le remplira et s'abreuvera avec celui-ci telle une chope contenant un spiritueux délectant, sauf que là, il s'agissait seulement d'eau...

- " Surtout que ma fortune comme tu dis, j'en ai pas... J'en ai jamais rien eu. Enfin si, des emmerdes ça je les collectionne, ça n'a pas la même valeur qu'un écu, mais ça fait passer le temps... "

Songeant à l'immortalité qu'elle avait effleuré du bout des doigts suite à sa mutation, la Pianienne fit resurgir des mémorielles acides et ragoutantes, qu'elle balayera d'un revers de main avant d'enchaîner, tantôt vaseuse, tantôt exaltée :

- " J'en aurais à tuer, du temps... Enfin, passons. Dis-moi, notre cher Don Juan a eu une touche ? Qui est cette Violette dont tu me parles ? "

Ce sourire vicieux et inquisiteur qui trônait il y a peu au coin de sa bouche refit surface.

"Difficile de se faire un quelconque pécule, quand on est apprenti sorceleur. C'est en partie pour cela que j'ai appris à travailler à la forge... Si tu savais ce que ça m'a apporté, tu baverais de jalousie !", fit-il, riant jovialement, comme il en avait l'habitude.

Ayant terminé son repas, il se leva et alla poser le pain et le fromage sur la table principale. Se retournant vers la Pianienne, il rougit un peu face à l'interrogation ...

"Une touche ? Euh, on est ... ensemble, je crois. C'est la première fois que ça m'arrive, donc je sais pas vraiment. C'est une élève, elle est là depuis deux ans ... Tu ne peux pas la rater, vraiment, elle a des cheveux de feux et des yeux de lilas. Elle est jolie ...", termina-t-il, rêvassant avec un sourire béat.

Salazar se lève donc en pleine nuit étrange pas fatiguer, du moins pas assez pour trouver le sommeil. Il semble qu'il lui soit impossible de dormir en plus d'un sentiment fort désagréable ou plutôt incompréhensible qu'il ressent depuis le départ de Valaar. Est t'il le seul ? Ou au contraire d'autres ressentent t'ils la même chose que lui ? Il en doute fortement, quoi qu'il en soit il viens ici sans de raisons particulière si ce n'est l'espoir de croisé quelqu'un qui puisse le guider.

Peu d'élèves dormaient, mais peu d'élèves furent retrouvés dans le réfectoire. Ni élèves, ni adultes d'ailleurs... Salazar se sentait presque seul. Et puis, un tremblement singulier apparût au niveau de sa poitrine : c'était son médaillon.

Salazar en réaction de réflexe se retourne brusquement et regarde tout autour de lui. Que se passe t'il ?

Rien de visible pour le moment... Mais les tremblements s'accentuent avec le temps.

Salazar en stress reprend une respiration qui se veux calme et essaye de réfléchir. Que pouvait t'il bien se passé ? Il s’assoit au milieu du réfectoire et observe son médaillon.

Sa méditation ou ses observations ne lui donnent aucune réponse, en revanche ses sens lui permettent d'entendre une arrivée, les portes s'ouvrent : son camarade Lynos est là.

Lynos avait juste, le réfectoire n'était pas complètement inoccupé.

-Salut à toi Salazar, j'imagine que nous ne nous rencontrons pas ici, à cette heure tardive, par un sale hasard ? dit-il en essayant de se détendre par cette bouffonnerie.

-Non. Mon médaillon vibre mais je ne sais pas pourquoi.

Répond t'il sur un ton ferme et assez vif, montrant que la situation lui touche les nerfs. Pour l'instant il ne bouge pas de sa position au sol.

-La raison de ta présence ici est donc bien la même que la mienne, dit-il avec un ton apaisant.

Son médaillon frémit alors de plus belle...

-Ce sentiment...Quelque chose de sombre plane au dessus de Kaer, tel l'épée au dessus de Damoclès,chuchota sombrement Lynos.

Magnus arrive donc ici , le dernier des couche tard n'arrivait pas a dormir les yeux rouge de fatigue il rejoindra le réfectoire ? Avait-il faim ? Soif ? , il n'en savait rien ..il vit Salazar et Lynos sur le chemin du réfectoire , il fit le vide intérieur afin de localiser une potentiel blessure rien pas un mal de tête de ventre..il était complètement perdu

-Bonsoir les gars..

Dira Magnus sur un ton totalement epuisé

-Vous n'arrivez pas a trouvez le sommeil , vous aussi ?

Il finira par se frotter les yeux

-Oui mais ce n'est pas la raison de notre présence ici, touche ton médaillon tu comprendras, dit Lynos avec lassitude.

Comment pouvait-il manquer de sensibilité au point de ne pas ressentir cette terrible pression?

-Toi Magnus ? Tu manque ça ? Ton médaillon n'a pas vibré c'est ça ?

Demande Salazar en faisant des gros yeux rond estomaqué par le fait que Magnus ne semble pas être affecter par le médaillon.

Il dira après un bâillement

-Mon médaillon aussi a vibré..mais rien de suspect..je ne comprends rien , je pensais que j’étais le seul..

Il portera un oeil sur son médaillon et le posera sur la paume de sa main voyait il quelque chose d'anormal ?

Salazar aperçoit un filament bleuté, traverser un mur... Puis lentement disparaître dans l'air...

Salazar ne peux se retenir d'avoir un frisson d'effroi qui le parcours un court instant, sans oublier le sentiment de surprise. Pour l'instant beaucoup trop sous l'impact de l'émotion et de la concentration il ne parle pas aux deux autres. Il se contente d'observer partout autour de lui.

Salazar avait un comportement étrange...enfin plus étrange que d'habitude.

Salazar ? Que t'arrives t-il ? Tu as perdu quelque chose ? dit Lynos inquiet pour la santé mentale de son camarade.

Il était concentré sur son médaillon , il dira simplement

-Rien d'anormal...on devrait faire un tour ? et trouvez la raison qui fait vibrer nos médaillons..

Propose Magnus

-Tu n'as pas a avoir si peur si il nous arrive quelques chose , on peut toujours prévenir nos professeur.

Dira Magnus a Salazar

Ils peuvent entendre un plutôt violent bruit d'impact en dehors du réfectoire.

Salazar trop concentré ne peut pour autant pas s'empêcher d'être déranger par les remarques des deux autres enfants, il s'apprête à leur répondre mais le bruit à pour effet de faire bondir Salazar sur ses pattes, et ignorant Magnus et Lynos il se rue dehors pour savoir ce qu'il se passe ! Il veux comprendre cette histoire une bonne fois pour toute !

Il entend et se retourne brusquement dans sa direction , c’était peut être la bas qu'il trouvera ce qui fait réagir son médaillon, ni une ni deux lui aussi se mettra a courir dans la la direction du bruit..

Un bruit assourdissant se fit entendre à l'extérieur du réfectoire, Salazar réagit le plus rapidement mais Lynos lui emboîtât le pas. Kaer se faisait-elle attaquer ? N'était elle pas sous la protection du Niflgaard ?

Le trio arrive dans le hall, et peuvent voir Alban et Milena partir pour le sous-sol : https://continentem.forumactif.com/t604-hall-d-entree#28350

À la table des Sorceleurs et des adultes se trouvait Daska, seul, aux manières étranges. Tous savaient qu’il recouvrait le bas de son visage avec une sorte de long col noir et épais, mais, le plus surprenant était qu’il ne le retirait pas pour boire ou manger, pas en ces lieux du moins. Pour que la becquetance atteigne ses lèvres, il tirait légèrement sur son cache-col, puis faisait passer la fourchette ou le verre dedans. Un bien étrange personnage.

Ainsi, si quelqu’un entrait, et, malgré que Daska soit là depuis plusieurs semaines déjà, il pourrait admirer éberlué la façon qu’avait le vétéran de manger. Comme à son habitude, ce-dit vétéran semblait un peu ailleurs: qu’avait-il en tête?