Le bordel des mille plaisirs

Griffith fraîchement revenu à Kaer Morhen; comme toujours, acceptait d'aller faire les réapprovisionnements mensuel à Seig Lyn. Il était aujourd'hui en charge d'un bon petit groupe de mioches, dispersés un peu partout dans le centre-ville. Considérant qu'il avait largement le temps de passer ici, il y marchait d'un pas tranquille.

Ainsi, c'est alors que cela devenait évident qu'il se dirigeait ici, qu'il passa pas loin devant Xsavus. S'arrêta un instant, remarquant qu'il avait été remarqué et comment ne pas le faire; la chevelure du sorceleur était assez atypique) : se retourne vers Xsavus. Un sourire rond au visage.

- Ho lé, héhéhé, non, je n'allais pas dans le bordel, donc baisse tes accusations gamin !

Ses paupières se plissent, et il prend un air suspicieux alors qu'il fait quelques pas vers l'enfant assit.

- Hn ?

Cela devait faire un petit moment que le jeune novice est présent non loin du bordel il fut surpris par griffith il souris légèrement aussi.


- Rassurez vous je ne vous accuse pas je ne fait que me reposez ici, en plus ont ma déjà refusez l'entrée , monsieur.. dit t'il un peu étonné mais il chercher le prénom de l'homme il été sur qu'il fait partis du groupe de ce qui sont venu a kaer , mais étant lunatique il avait tendance a perdre un peu .

Le sourire s'élargit, et Griffith porte sa dextre à l'arrière du crâne, grattant doucement.

- Oh. T'as été refusé d'entrée ? Les enfoirés...

Le sorceleur blond évitera de mentionner qu'il a eu les mêmes déboires dans sa petite jeunesse.

- Il fait un peu froid pour se reposer ici, t'veux entrer ?

Un air narquois prenant relief sur le visage.

- Oui ont m'a refusez une fois je doute si ont me laissera une deuxième fois.

dit t'il le jeune  garçon fut un peu étonné il voulais rentrer au bordel ? était ce une bonne idée d'accepter ? mas peut-être quand il saura la vérité il cessera de chercher.


- C'est bien vrai qu'il fait froid l'hiver arrive et ..oui j'aimerais bien rentrer dit t'il sous un ton innocent,clignant un peu des yeux.

Griffith lui fait un clin d'oeil.

- T'inquiète, il refusera pas une deuxième fois.

D'un signe de la main, il lui dit de se lever et de le suivre; déjà il partait pour rentrer dans la bâtisse. Et le gardien des lieux ne se permettra rien face au sorceleur de toutes les façons connus des lieux.

Un nom bien raffiné pour un lieu qui l'est beaucoup moins. Derrière une façade en bois toute simple et un peu sale se trouve un grand intérieur doté d'un étage d'ou l'on pouvait voir différentes femmes zieuter l'arrivée de nouvelles proies. Derrière elle, de nombreuses portes que l'on pouvait supposer être des chambres. Tout ici était fait de bois à l'instar des nombreux support destinés aux bougies. Fleurs, encens, tapis et autres ornements colorés étaient légion. De même, il n'y avait qu'à ouvrir les yeux pour y trouver de nombreuses bouteilles d'alcool comme dans tout lieu de débauche... Quelques tables étaient disposées au rez de chaussée pour discuter ou jouer aux cartes.

Voilà ce que vit Xsavus en entrant; tout en même temps que les regards se baladant sur lui, le petit enfant qu'il était. Il y avait quelque chose d'assez dérangeant pour beaucoup de le voir ici. Surtout pour les femmes, la plupart des hommes ici n'en avaient qu'à faire.

Griffith, absolument pas gêné, tape doucement sur le dos de Xsavus et le pousse devant.

- Alors, ravi ?

- J'en suis ravi oui il fait moins froid que dehors

Griffith grimaça alors de tout son saoul.

- Hein ?!

Lança-t-il très fort, attirant les regards sur lui.

- Qu'il fasse moins froid que dehors, c'est tout ce que cet endroit t'inspire ??

Le sorceleur semblait sincèrement désabusé.

- Hmmm , en y pensant il n'y a pas que ça la paix semble résider dans ces lieux, peut-être  je me trompe ou biens ais je raison .. 

Griffith n'en croyait pas ses oreilles.

- Qu... quoi ?!

Dit-il toujours d'une voix pas gênée de s'exprimer.

- M-mais...

Il bégayait sérieusement.

- Bordel de merde. Le sorceleur agita sa tête rapidement et posa ses yeux sur une des putes visibles. En l'occurrence une jolie jeune femme aux cheveux châtains et aux yeux clairs.

- Non, non, non. Xsavus, c'est bien ton nom ? Regarde : elle. Désignant la prostituée sur lequel ses yeux s'étaient arrêtés un instant plus tôt. La première chose qui te vient à l'esprit, c'est pas censé être quelque chose du genre... J'sais pas moi "Oh, j'aimerais bien que cette très jolie femme m'embrasse !" Ou un truc comme ça, à peu près ??

- C'est exact , mon nom et xsavus , mais.. la première chose qui me vient a l'esprit ces que embrasser une fille doit venir , de nos propres sentiment même d'un amour sincère je dirais.

- Hhhhaaa...

Soupire Griffith.

- Je vois, c'est... bien... j'imagine.

Il regarde autour de lui, et sent qu'il vient de perdre quelque chose.

- Tu m'as passé l'envie d'être embrassé, allez on se casse.

Il mit sa main sur l'épaule de Xsavus et partir pour sortir du bordel.

- Tu veux faire quelque chose de particulier, monsieur le romantique ?

-et biens ..j'aimerais voir le marché .

- Soit, on va faire ça dans ce cas.

Et ils partirent tous les deux vers la ville, reprenant les sacs de leurs chevaux pour les emplir de différentes nourritures etc au marché.

https://continentem.forumactif.com/t126p25-la-place-du-marche

Le couple de sorceleurs en herbe arrivent devant la devanture, il ne leurs restent plus qu'à attendre qu'un abruti se présente.

-Tu veux immobilisé l'imbécile ou je m'en charge?

-Tu es plus avancé que moi en magie donc je te laisse faire.

Le regards jeter à la jeune fille déplaise à l'escroc plus qu'il ne l'aurait penser, l'envie de gifler quelques ivrogne lui passe même par la tete mais son sang froid le retiens.

-Nous n'aurions pas du venir ici, j'ai fait une erreurs en nous y menant.

Pas du bordel, mais d'une rue adjacente, deux hommes passent. Ils parlaient fort, et semblaient ivres. Ce qui ne les empêche pas de remarquer le basané et la fillette devant le bordel, et donc grâce à la lumière des lieux. L'alcool poussant à l'agressivité, et sans autres réelles raisons, ils décident de s'approcher du duo. Un des deux, plutôt costaud passe devant. Un visage assez laid, un crâne parfaitement rasé, des yeux clairs comme le ciel.

- Eh, les mille plaisirs installent des putes devant pour attirer les hommes m'nt'nant ?

Suivit d'un rire gras, complice avec son ami qui le suit naturellement.

-Dis... C'est quel type d'établissement?

Les deux hommes avinés sont repérer des leurs sortis de la ruelles, provoquant la méfiances du jeune hommes ainsi que l’accélération de son rythme cardiaque, des réflexes naturels face au danger mais qui, chez les mutants, menace de mort quiconque aurais l'audace ou la bêtise d'aller trop loin.

Un sourire est afficher sur le visage de l'apprenti lorsque viennent les paroles du crane chauve.

-Passe ton chemin l'ami t'as pas les moyens.

Puis quelques mots sont murmurer à l'attention de la fillette:

-Le genre qu'on aurait du évité, tirons nous de la.

L'homme fronce les sourcils en entendant la voix de Maajidyn, qui n'était alors pas celle d'une femme...

- Putain, ils ont les moyens de s'payer des esclaves sauvages ma parole !

Une claire référence à la couleur de peau de Maajidyn. Visiblement, le bonhomme était assez sobre pour parler "normalement". Pas assez pour comprendre précisément la situation. Derrière, son ami entonna :

- Ils partent de là, p'tet que l'sauvage a voulu vendre cette fille du Nord et l'bordel a refusé, nan ?

Celui là, bien chevelu, avec une tête de profond abruti, regard tout béat les visages de Maajidyn puis celui de Milena.

- Putain l'fils de pute... Dit-il ayant l'air songeur, puis s'exclame d'un coup : Tu te crois où putain d'animal ? T'vas laisser c'te gamine avec nous lo, et rentrer dans ton désert s't'veux pas qu'on t'pete.

S'approchant nonchalamment de Maajidyn et lui posant une main sur l'épaule.

Des mots qui n'atteignent pas l'apprenti en temps normal, encore moins venant d'alcoolique puants qui constituent le pire du pire de l’être humains. Le garçon se tait, ne voulant pas provoquer de rixe mêlant la jeune fille mais celle ci en décide autrement. Si les abrutis ne prennent pas peur alors il faudra faire preuve de violence et leurs état promet que cela se fera sans doute.

Dans le doute ou Aard ne suffise pas, Maajidyn décoche un chassé dans le torse du chevelu puis dégaine sa lame qu'à moitié afin de décourager le chauve tout en plongeant ses yeux de chat dans les siens.

-Partez ou saignez, la décision vous appartient.

Un aard de très bonne qualité part de la main de Milena, bousculant violemment l'ivrogne, qui teint néanmoins très bien sur ses jambes. Éminemment surpris, mais surtout fou de rage d'être pris en attaque par une gamine qu'il considérait défendre; il porta sa dextre dans une poche pour en sortir un couteau.

- Raaarrghhh saloperie !!

Cria-t-il prêt à se ruer sur elle; tandis que le chauve désarçonné par la tournure des événements, restait immobile.

A ce même instant, Maajidyn recroquevilla une jambe et la propulsa avec une force démentielle dans le torse de l'abruti. En plein plexus, le souffle est instantanément coupé, et le bonhomme vole deux mètres en arrière, et se ramassa comme une fiente d'oiseaux au sol; le visage dans le sol presque boueux. Il tente vainement de se relever; alors que son collègue, lui, part déjà pour détaler loin de là en gueulant comme un lâche. La lame et les yeux avaient fait leur effet.

-L'eau croupie, on peut même lui faire boire.

Le garçon rengaine en soupirant, soulager qu'aucune goutte de sang ne coulerais par leurs mains ce soir. S'approchant doucement du chevelu Maajidyn pour le désarmer d'un coup de pieds sur la main tenant la lame surement rouiller puis se tourne vers sa camarade avec un sourire complice.

-Tu as raison, ça lui apprendras à tenir se genre de propos en présence d'une dame.

Un pied est posé sur le torse de l'ivrogne afin de le maintenir à terre.

-A toi l'honneur Navrée.

Ajoute-il pour la néophyte.