Centre-ville

Un gigantesque centre-ville, noir de monde. Ici il y en a pour tous les goûts, entre diverses tavernes, commerces ou autres. On y trouve une panoplie de marchands effrayants, et l’on voit souvent des arnaqueurs haranguer les passants pour leur vendre leur camelotte. On voit parfois des troupes itinérantes s’y donner en spectacle au milieu de la place. Le panneau d’affichage est lui aussi présent, à l’avis des aventuriers. On trouve d’innombrables annonces, Novigrad étant une grande ville, certaines mêmes de villages plusieurs lieues de la ville portuaire.

Le nain et son compagnon sorceleur iront donc voir les contrats de la ville, Shegmurd étant intéressé par faire un contrat de mercenariat dans le but de récolter plus d’argent et d’habituer Amralt à combattre contre d’autres humains et pas des monstres. Quoi qu’il en soit, les deux compères arriveront devant le panneau d’affichage. Le nain, comme d’habitude regarda d’un air dédaigneux les contrats à la recherche d’un qui pourrait bien les intéresser. Il prit alors une voix sans contexte et dira.

- Alors p’tit t’as une idée de c’que tu veux faire comme mission? Moi jdis on va casser la gueule à des bandits, c’est l’meilleur truc pour s’faire des thunes et c’est facile.

Amralt regardait aussi en même temps que Shegmurd le panneau

- Y'en a un pour les sorceleurs a une école pas loin d'ici, mais ils disent pas combien ils paient...

Il continue à chercher une autre annonce, il les parcous toute de haut en base

Mon chat a disparu! Aidez-moi! Pour plus d’informations, venir à 37 Rue du Colonnel Moutarde.

Des goules rôdent dans le cimetière! Pour plus d’informations, aller voir l’intendant - Sorceleur demandé!

marqué du sceau officiel de la ville.

Les chiens au Lacis se comportent bizarrement!

Il en discerne trois qui semblaient sortir du lot...

- On peut aller voir ski spasse avec les iench pis on va au cimetière

Dira-t-il après moultes réfléxions

-Je comprend pas l'intérêt des chiens sorceleur.

Réplique t'il avec franchise.

- Nan mais vasy, parce qu'après ça je pense je vais vite aller dans une ville à coté y'a une demande pour Il baisse un peu la voix de sorte à ce que personne ne puisse entendre une demande pour un sorceleur dans une école

- Donc tu m'attends chez toi ? J'vais vite voir les iench, repose toi pis on y va se soir pour les goules

Puis il s'en irasans attendre la réponse de Shegmurd qui avait l'air d'avoir freeze, direction donc, les iench maboule

Shegmurd l'attend donc effectivement chez lui. Désolé pour la niaise, lag du serveur continentem brésilien.

Casei arrive ici en quête de trouver le panneau d'affichage. Elle le trouve rapidement sur la place du centre-ville. Sans plus attendre elle regarde les petites annonces mise en avant, surtout celles scellée par l'empire.

De même Poddrick se rendra sur le tableau d'affichage pour dénicher un petit travail. Parce que j'aime l'argent.

Voici les annonces les plus intéressantes que les deux Sorceleurs trouverons parmi la multitude.

Demande escorte jusqu'à Desnele , bretteurs de haut-niveau requis.

Escorte:

Gobelins dangereux et libération d'otage ! Très haute récompense !

Gobelin:

Des pirates sèment la terreur , récompense promise !

Pirate:

Seulement sur cette dernière un sceau de l'empire sera visible.

Regardant l'annonce sur les gobelins, elle fait les gros yeux.

"- 3000 pièces pour des putain de gobelins ?! Bordel c'est la mission du siècle Pod'!"

Arrachant l'annonce du tableau, elle la montre à son poto.

Poddrick manquera de s'étrangler en voyant le montant, 3000 PUTAINS DE PIECES, 3000 !!! 3000 !!! Mais c'était la fortune assurée, plus de trois chevaux qu'il n'avait pas pu vendre. des dizaines de milliers de bières, la belle vie quoi, est ce que ça tenait seulement dans une bourse. Il répondra alors à Caseil

- Putaing, on est riche caseil, on est riche tu entends, RICHE ! Faut qu'on se grouille, ils doivent être nombreux sur le coup, on les ecrase un par un si il le faut, mais on va se faire des couilles en or !

"- P'tain quoi ! On va voir eul' client ou on va direct péter la gueule du mec ?"

Elle lui donne la feuille du contrat pour qu'il relit le contrat. "L'ancienne Forteresse de la corneille noire", ça fait bien dark et bien louche mais cela ne fait pas peur à la blonde.

- On pète direct la gueule du mec, vitef. Au pire on aura perdu deux trois florins à faire le voyage au mieux on aura une petite dame sauvé et 3000 florins. Pas le temps de niaiser j'ai pas envie de me faire baiser par un mercenaire à deux cuivrins.

Répondra le jeune homme avec entrain.

"- Okay okay perdons pas eut temps !"

Sans plus attendre, elle court vers l'écurie pour prendre son canasson.

https://continentem.forumactif.com/t331-les-portes-nord#40494

Cela allait bientôt faire une semaine que la sorceleuse avait jacassé avec la bibliothécaire, et que ce dernier lui avait octroyé le droit de mener l'enquête de son côté sur les troupes de scélérats qui persécutaient Novigrad. Carmia, malgré l'effort qu'elle mettait en oeuvre pour accomplir sa tâche, pataugeait depuis sept jours, et n'avait su quérir aucune information utile et qui serait profitable à l'armée. Pourtant, elle ne se découragea pas, puisque cette mission était l'unique chose qui arrivait à occuper pleinement son esprit, et à occulter certains faits qui lui menaient la vie dure, et ce depuis bientôt deux semaines... La mine sombre, elle marchait dans la place principale, sans même plus prêter attention à l'agitation des lieux. Une véritable cohue, une fourmilière grouillante qui ne laissait de répit à aucun habitant ; la Pianienne dans son cas s'en gobergeait. Allant droit vers son but, sa tâche, la mutante prit la route qui menait à la périphérie de la ville, celle malfamée : le Lacis. Elle due par conséquent passer devant le panneau d'affichage, où contrats et annonces en tout genre figuraient. C'était là qu'elle allait se rendre si dans un mois sa mission n'aboutissait à rien, et qu'elle devrait alors chercher la dite monnaie pour s'en aller...

Dès que Poddrick eut recouvré assez de forces pour voyager de lui même, le jeune sorceleur se sera rendu à Novigrad, à pieds cette fois ci et de jour. Sa plaid était encore douloureuse, et son équilibre imparfait, mais il commençait à appréhender comment palier à son infirmité. Si Poddrick se rendait dans le centre ville, prêt du panneau d'affichage, ce n'était pas pour trouver un énième contrat, du moins pas immédiatement, mais pour se tenir au fait des nouvelles de la ville. Il avait un type bien particulier de mage à trouver, un type de mage rare qui sera sans aucun doute l'un des seuls qui pourra lui redonner toute la force qu'il possédait auparavant, et peut être encore bien plus. Le visage renfrogné et le pas assuré, bien que lent du fait de la lassitude du voyage, Poddrick se fraiera un chemin au milieu des badauds en tout genre jusqu'à tomber né à né avec une vieille connaissance. Carmia... Leur relation était... disons, conflictuelle. Ils n'étaient jamais arrivés à bien s'entendre, mais ne se détestaient pas particulièrement, en réalité malgré les cinq années passées à Kaer Morren ensemble, ils étaient presque des inconnus sur le plan intime. Et les récents évènements ne leur avait pas permis de mieux se connaître. Cependant, il allait devoir faire fie de ces désagréments, car en ce moment, il avait bel et bien besoin de la sorceleuse au coeur de fer. S'approchant de cette dernière il la saluera sobrement, ses yeux bruns la regardant droit dans les yeux comme si rien n'était arrivé :

- Salut Carm.

Le capharnaüm qui régnait sur la place était tel qu'il finissait par avoir une sonorité similaire à ses jours précédents. A certains endroits de la place, le son était plus aigu, à d'autres, il était bien plus grave, éreinté. Les cliquetis et bruits spécifiques à certains coins de la place renforçait cette ambiance de chorale. Le coin préféré de la sorceleuse, c'était bien à la sortie de ce boulevard, là où le tintamarre prenait fin, et où ces tympans ne venaient plus à être agacés. Mais, aujourd'hui, une anomalie parviendra à ses délicates et attentives oreilles ; le son n'était pas le même au niveau du panneau d'affichage. Les entrechocs des épées de mercenaires à hauteur du panneau d'affichage sonnait comme une mélodie gracieuse et fluette. Or, aujourd'hui, une sonorité roque et gutturale vient s'immiscer dans ce champ sonore. Et oui, avec l'ennui, la plus énergique des sorceleuses pouvait s'attarder sur des détails aussi insignifiants. Mais trêve de bavardage, il fallait qu'elle trouve l'origine de cette nuisance, de quoi s'agissait-il ? Elle n'eût pas le loisir de chercher longtemps, car la cause se présenta à elle, droit devant ses yeux.
Poddrick, s'il était attentif, remarquera que le regard de sa camarade, qui avait prit l'habitude d'être effronté et dédaigneux, avait perdu de ce charme, et était pourvu d'une fatigue certaine. Les cernes en témoignaient. Ses prunelles, vitreuses presque, se posèrent sur le sorceleur lentement. Puis, lorsque cela fut, elles prirent soudainement vie, mais pas méliorativement. Tremblant presque, tout son visage suivit cette expression ; une stupeur se mêlant à une colère mûrement nourrie. Il n'aura même pas le temps de se demander pourquoi cette haine était née dans le regard de sa camarade, que le poing de cette dernière fusa vers sa mâchoire, d'une vitesse fulgurante.

Poddrick ne s'attendait pas à un tel accueil, ça non, mais Carmia ne s'était pas donné la peine d'être discrète et ses sens de sorceleurs restaient aiguisées. Ainsi tentera t'il d'arrêter le poing qui foncera dans sa direction en saisissant de sa dextre le poing de carmia tout en décalant légèrement son visage pour éviter de de récolter les fruits de la colère de sa camarade.

Poddrick ne parviens pas a prendre le poing de Carmia, celui-ci étonnamment trop puissant pour le mutant, et il balaye simplement la parade de Poddrick avant de partir vers son visage. Poddrick décale son visage au dernier moment ne prenant que une partie du coup, la plupart de la puissance partant dans le vide, seulement la partie gauche du poing touchant la joue gauche de Poddrick..

Déjà autour d'eux des hommes cherchant également des contrats les regardes avec méfiance..

La main droite Poddrick se portera lentement à sa mâchoire alors qu'il regardait Carmia avec une colère contenue. Sa peine n'était elle pas déjà assez grande pour que la sorceleuse qui lui faisait face fasse preuve d'autant d'antagonisme sans la moindre raison. N'étant pas réellement physionomiste, ou très observateur, il ne remarquera pas les cernes profondes qui encadraient les yeux de Carmia, ni la peine visible qu'exprimait son visage. Lentement, distinctement, il demandera d'une voix froide :

- Je pensais qu'on avait finit ces petits jeux là il y a 4 ans Carmia, tu veux qu'on se la donne comme à l'ancienne ?

Son coup n'avait pas eu la répercussion qu'elle désirait ? Cela n'était rien, elle comptait récidiver. Que la populace de ce boulevard les dévisagent ou non, elle n'en avait curent, cela ne l'empêcherait pas de continuer ses actions, et de se défouler sur celui qui était à l'origine de sa haine. Il s'agissait d'une histoire d'accumulations ; le vol du contrat de sa part, ainsi que de la dite somme - du moins elle ignorait les tenants et aboutissements de ce côté-là -, et enfin leur abandon dans la traque des gobelins, tout cela par pure sentiment véreux.
Cela, le sorceleuse ne pouvait le savoir, à part s'il s'attardait sur un indice oral :

- " Ferme ta putain d'gueule sale voleur "

Et aussitôt, un énième coup de poing parti en direction de sa mâchoire, mais cette fois-ci de l'autre côté...

Poddrick élèvera cette fois ci son bras gauche, bloquant la droite que lui donnait Carmia tout en esquissant encore une fois un geste d'esquive de la tête. Son regard c'était raffermis, ce faisant plus dur alors qu'une colère froide montant lentement en lui. Alors comme ça il était un voleur, Carmia et Amralt partaient à travers champ, laissant les deux femmes traumatisées sans la moindre surveillance, ne songeaient même pas à faire le moindre effort pour assurer le bon fonctionnement de la quête, et voilà qu'elle se permettait de le juger ainsi, de le traiter comme un parjure ? C'était d'un abjecte... Elle aurait dût l'accompagner elle qui y tenait tant, nul doute qu'elle aurait finit comme Caseï et lui, quoi qu'au vu de sa grande gueule ce n'est pas un bras qui serait partie, mais la moitié de sa carcasse. Luttant pour se contenir, Poddrick répondra d'une voix tendue au fond de laquelle brûlait un lourd ressentiment :

- Je n'ai rien volé Carmia... Arrête ça tout de suite, ou je vais réellement m'énerver.

L'attaque de Carmia passera au travers de la garde de Poddrick un fois de plus, mais n'atteindra pas son visage.

Une foule de mercenaires et de divers curieux se forme autour de Poddrick et Carmia. Un homme sans doute pas plus vieux que la Rousse prendra la parole, de grande taille aux yeux bleus et et à la mâchoire carrée, il porte une armure de plate aux couleurs rouge sang et bleu marine. Seulement son manque de heaume fait faute a son équipement.

-Voyez vous ça, un mercenaire qui se laisse faire par une putain en furie ! Vraiment, que de la racaille sans qualité comme disait père.

Dira t'il d'un ton puant la supériorité a ce qui semble être un petit cortège d'une demi-douzaine d'homme d'armes vêtu de mailles et de plastrons avec la même combinaison de couleur que lui même, un noble sans doute. Ses commentaires font d'ailleurs rire beaucoup de civils, tandis que les mercenaires n'osant rien dire se contenterons de regards mauvais, tandis que d'autres préférons feindre l'ignorance en regardant le spectale des sorceleurs.

La raisonnement interne qu'avait en cet instant Poddrick était louable, voire même recevable, cependant la sorceleuse était d'une nature très têtue, mais surtout extrêmement impétueuse. Sa colère grouillait dans son poing ainsi que dans son esprit. Pour elle, c'était à lui que s'incombait la mort de son camarade, car il n'avait pas été là pour les soutenir lors de la traque des gobelins. Ils n'avaient guère prêté d'attention aux otages, car ils savaient que la horde de nains allaient s'accaparer cette tâche, et peut-être que Caseï allait avoir la jugeotte de se trouver une utilité. Mais Poddrick avait décidé de s'atteler à cette occupation salutaire de transporter les otages, et non de traquer sans relâche les gobelins, qui à coup sûr vont récidiver dans quelques jours...
Sa logique foireuse avait raison de ses actions, qui continueront sur la même lancée, et ce malgré l'aperçu d'un détail important : son moignon. Elle hésita un instant avant d'enchainer par un coup de pied circulaire, espérant que ce dernier vienne fouler soudainement le sol et ne puisse plus parer. Cependant, il pourra voir dans les prunelles de la sorceleuse une certaine incertitude quant à sa blessure

- " Notre contrat putain ! Tu nous l'as volé ! LA PRIME BORDEL TU NOUS L'AS PRISE "

Quant au goret qui jubilait de sa blague, Carmia eût hésité un instant à s'en prendre verbalement à lui. Une troupe d'hommes armés jusqu'aux dents, qui à la moindre parole graveleuse pouvaient la trucider aisément ; cette scène avait des relents de déjà-vu... Mais ce fut sa révulsion qui gagna, et qui lui formulera une parole remplie de sincérité :

- " Et toi j't'emmerde le bourge "

- Tu commences à me faire vraiment chier Carmia tu sais.

Répondra Poddrick en tentant cette fois ci de se saisir de la jambe de Carmia pour ensuite l'envoyer au sol d'une simple torsion. Une initiative qui ne fera pas couronnée de succès, Poddrick amortissant seulement le coup qui lui avait été donnée de son bras mais n'arrivant pas à attraper le pieds de la sorceleuse, lui arrachant une petite grimace de douleur quand le choc se répertoria sur son torse.
Elle était insupportable, et voilà que la foule s'y mêlait. Par Melitele qu'est ce qu'il détestait la foule et sa fascination pour le sang. Si ça ne tenait qu'à lui, il aurait déjà foutu une baigne à ce grand costaux qui se permettait de faire le malin alors qu'il pouvait le coucher d'un seul coup. Il répondra alors à Carmia :

- J'ai pas ta putain de prime ! On s'est fait attaquer pendant que tu cueillais des pâquerettes avec ton petit copain, donc lâches moi le cul tu veux ?

Quand au jeune candole en armure, il eut droit à une couplet spécial Poddrick, exprimant tout son mépris pour les bourgeois de son espèce, son intervention subite et la colère qui habitait Poddrick ne l'aidant par vraiment à se tempérer :

- Dommage que ton père t'ai pas aussi appris à fermer ta grande gueule, une fiente sortie du cul d'un roi reste une merde, heureusement pour toi d'ailleurs, car c'est la seule chose qui protège ton petit cul, que personne veut s'éclabousser en t'en collant une.

Le grand gaillard ouvre des grands yeux ronds, prenant un air complétement abasourdi par les propos de la catin rousse et du vil nain laideron qui se dresse devant lui, ses hommes et les gens autour s'échangent des regards de stupéfactions tandis que des murmures d'inquiétudes se font entendre particulièrement parmis les femmes présentes, les mercenaires également ont l'air sous le choc de l'audace des deux sorceleurs . Le blond prend presque aussitôt après la réalisation des insultes un air hautement furibond, sa tête virant au rouge alors que il tremble de tout son corps.

-Je suis Joffroy de la Griffonnière ! Mon père est un ancien membre de la garde impériale et mon cousin officier de l'armée de la Redanie ! Rugis t'il, presque en hoquetant tellement la colère semble prendre cause en lui, il dégaine son épée d'un geste brusque mais néanmoins montrant une certaine maitrise, pas surprenant pour un noble en armes après tout.

-Je vais vous faire émasculé pour votre insolence immonde goret ! Peste t'il envers Podddrick avant de prendre attention sur le cas de Carmia. Et vous je vais vous marquer au fer rouge comme la catin que vous êtes !

Alors que la foule commençait à s'agglutiner devant le spectacle qu'ils représentaient, la sorceleuse voulut continuer ses offensives, ses attaques verbales et ses jurons. Mais n'arriveront qu'à sortir des paroles amplis d'une rancœur insatiable :

- " Les pâquerettes j'te les ferai bouffer : tu serais venu avec nous Amralt serait encore là sale enculé ! "

Cette fois-ci, elle n'eût pas la force, ou plutôt le temps, de rétorquer un peu plus à Poddrick, qu'un autre adversaire semblait se joindre à la fête. Il s'agissait bel et bien d'un bourge ; dorloté et choyé par ses parents, il avait sans doute l'expérience de la vie bien mollassonne. Elle ne s'inquiétait donc pas plus de cela de sa soi-disante colère.

- " J'en ai rien à foutre de ta famille d'merde, et ton fer j'te l'foutrais dans l'cul sale bourge "

Sa main proche de sa dague dissimulée, elle se tenait prête à s'en saisir et à l'utiliser, en cas d'attaque par exemple.

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